• Claude François boutique

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  • VIBRATIONS COLLECTOR 24/32

    VIBRATIONS COLLECTOR 24/32


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  • FREDERIC FRANCOIS - JE VIENS DINER CE SOIR


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  • CLOCLO & MIKE BRANT - QUI SAURA

    Je vous présente un pur inédit d'un duo virtuel que j'ai mixer moi-même avec ma table de mixage.

    J'avoue avoir eu du mal a le faire, mieux j'y arrive pas.

    Qu'en pensez-vous ? je ne serais pas choquer de votre honnêteté.

    pour ma part c'est boffffff


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  • m.pokora - my way


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  • BELLES ! BELLES ! BELLES !

    La première fois que Claude François découvre ce titre, c'est dans le bureau de Jean-Jacques Tilché chez Philips.
    Le directeur artistique lui fait écouter cette chanson originale des Everly Brothers, ''Made To Love'', qu'il destine à son poulin Lucky Blondo qui triomphe alors avec le titre ''Sheila''.
    Claude supplie alors Tilché de la lui donner. Il finit par le convaincre mais lui demande de revoir le texte français dont le refrain ''Rien, Rien, Rien'' ne l'inspire guère.
    Claude rencontre donc Vline Buggy et ensemble il créent ''Belles ! Belles ! Belles !'' qui fait penser à une sonorité de cloche, Bell en anglais.
    Dès la sortie du disque, Daniel Filipacchi en fait le chouchou de son émission, ''Salut Les Copains'' sur Europe 1.
    C'est Claude Lelouch, jeune réalisateur débutant qui le mettra en image.
    Cette chanson, sortie en octobre 1962, obtient un énorme succès et marque les véritables débuts de Claude François.

     


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  • VIBRATIONS COLLECTOR 23/32

    VIBRATIONS COLLECTOR 23/32


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  • MARTIAL - LA MUSIQUE ANCIENNE


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  • Claude François : France Gall, Isabelle Forêt… qui étaient les femmes de sa vie?

    Une partie de ses histoires d'amour sont abor­dées dans le film "Cloclo". France Gall, Isabelle Forêt, Sofia Kiuk­ko­nen… qui sont les femmes qui ont partagé la vie de Claude François, icône française des années 70 ?

     

    Si Claude François n’avait pas quitté son poste d’em­ployé de banque, il n’au­rait peut-être pas connu le succès sur scène et ces femmes merveilleuses qui l’ont accom­pa­gné au cours de sa carrière. Lorsqu'il intègre l’or­chestre de Marcel Blan­chi, à l’hô­tel Provençal de Juan-les-Pins en 1959, il fait vite la connais­sance de Jane Wool­la­cott. Celle-ci, née à Nottin­gham­shire au Royaume-Uni, est danseuse. Ils tombent amou­reux l'un de l'autre au cours d'une soirée à Monte-Carlo. Très vite, leur histoire appa­rait comme une évidence et ils se marient, en novembre 1960. Mais petit à petit, des tensions surviennent dans le couple. Le chan­teur est jaloux et posses­sif, et Jane Wool­la­cott a besoin de distance. Elle le quitte deux ans plus tard pour les beaux yeux d’un autre homme. Un certain Gilbert bécaud, qui, lui aussi, ne vit que pour la chan­son.

    Le temps passe et Claude François connaît ses premières soirées sous les projec­teurs. Le public appré­cie ses chansons et entame le fameux refrain de Belles, Belles, Belles. Il prend de l’ai­sance sur la scène de l’Olym­pia et gagne la confiance de ses fans. Une seconde femme appa­raît dans la vie de l’ar­tiste. Il s’agit de la jolie France Gall, alors âgée de 17 ans. Le beau duo entame une rela­tion secrète pendant trois ans. Mais ses mauvais traits de carac­tère réap­pa­raissent. Il l’op­presse, l’em­pêche de jouer avec Alain Delon au cinéma, surveille ses faits et gestes. Sa compagne, dispu­tée à plusieurs reprises, se sent oppres­sée. Elle prend le large. « Claude n’était pas quelqu’un de facile. Personne n’était heureux autour de lui », confiera t-elle à France Dimanche en 2015. La rupture est donc doulou­reuse.

    Claude François, lui, conti­nue sur sa lancée musi­cale. Lors d’un gala à Lyon il est charmé par la belle Isabelle Forêt. Elle aussi est danseu­se… Ils s’aiment d’un amour fort et fondent même une famille. Le couple a deux enfants, Claude François Junior et Marc François, qui naissent en 1968 et 1969 à Neuilly et Paris. Malheu­reu­se­ment, l’époux est infi­dèle. La flamme vacille et les amants se quittent. On ne les verra plus ensemble à partir de 1974. Elle se rema­rie par la suite. 

    Claude François vire­volte vers d’autres parte­naires. Il a des vues sur Dany Saval mais celle-ci s'éprend finalement de Michel Drucker sur un plateau de télé­vi­sion. Il s’af­fiche quelque temps plus tard au bras du mannequin finlan­dais Sofia Kiuk­ko­nen. Tout se déroule pour le mieux jusqu’à ce que la ques­tion de fonder une famille pose problème. Le chan­teur ne voulait pas d’en­fants avec elle, ayant déjà la respon­sa­bi­lité de ses deux fils. Elle le quitte en 1976. "Je n’ou­blie­rai jamais le jour où Chouffa, la mère de Claude François, m’a révélé que son fils n’avait pas un enfant, mais deux !", expliquait-elle a Paris Match en 2008. Une énorme trahi­son dont elle ne s'est jamais remise, sans comp­ter le fait qu'elle croi­sait les maitresses de son compa­gnon sur le palier…

    Pour noyer son chagrin, l’ar­tiste se réfu­gie encore dans ses compo­si­tions. Il rencontre Katha­lyn Jones à l’hi­ver 1976, mannequin d’ori­gine cali­for­nienne. Elle l’ins­pire pour chan­ter C'est comme ça que l'on s'est aimé, partage sa passion et enre­gistre même des morceaux à ses côtés. C'est elle, qui, à 23 ans, le 11 mars 1978, retrouve son mari inanimé dans sa baignoire à Paris. Ce jour-là, il ne reverra plus jamais ses proches et ses Clodettes. Le monde de la musique devra faire son deuil.

     


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