Musique, émission, vidéo, info, clip...
Vraiment tout et plus encore..........
MERCI A MON AMI DEDE DE CENTERBLOG POUR AVOIR TENU SA PROMESSE EN 2010 D'ALLER A DANNEMOIS SUR SON TRAJET POUR ME FAIRE DES PHOTOS DU CAVEAU DE NOTRE CLOCLO
POUR VOIR SON BLOG
« Il est toujours présent dans mon iPod »
J'avais 2 ans quand Claude François a disparu.
J'ai été très choquée par les conditions dans lesquelles il a trouvé la mort.
Pendant des années, à chaque fois que j'étais dans mon bain, je ne pouvais m'empêcher de penser a lui !
Lorsque j'étais en tournée avec mon deuxième album, j'avais pris l'habitude de commencer mon spectacles avec Le Lundi au soleil.
Le public reconnaissait la chanson dès le deuxième accord et d'emblée, ce titre les mettait de bonne humeur pour le reste de la soirée.
J'adore Cloclo, il est toujours présent dans mon iPod, et quand je suis en boîte de nuit, il faut me voir me déhancher dès les premières notes d'Alexandrie Alexandra.
Je suis la première, en général, à refaire la chorégraphie.
LE SAMEDI 10 FEVRIER 1973
Un grand dîner est organisé au Moulin, en présence de nombreux invités et collaborateurs de Cloclo : Alain Chamfort, Alex et Patrick Topaloff les artistes Flèche, Sheila et Josette Galy, sa fidèle secrétaire, Michel Lafon rédacteur en chef de Podium et Paul Wagner directeur artistique à Podium.
Tous dégustèrent un cassoulet, puis passèrent une grande partie de la nuit, dans la maison américaine pour bavarder et jouer à de nombreux jeux de société.
Les photos prises trois jours avant le mariage le plus célèbre des années 70, celui de Sheila et Ringo, illustrèrent très largement les pages du mensuel Podium.
« Il voulait absolument me produire »
Ma première audition en tant qu'artiste, je l'ai faite aux disques Flèche, la maison de disques de Claude François.
J'étais très impressionné par la superstar qu'il était à l'époque.
Il voulait absolument me produire.
Cela ne s'est pas fait.
Lorsque ma carrière a démarré, il prenait régulièrement de mes nouvelles par l'intermédiaire de son collaborateur à Podium, Denis Goise.
Souvent, son journal me consacrait des reportages, des interviews, des posters …
C'est lui dans la rédaction qui choisissait les photos.
Et si le destin en avait décidé autrement, je suis convaincu que l'on aurait travaillé de toute façon ensemble.