• L'interview surréaliste de Claude François : "Après 18 ans, je me méfie, les filles commencent à réfléchir"

    Julie la fille cachée de Claude François est sortie de l'ombre pour raconter son histoire. Au-delà de la révélation de son existence, un élément pose question: l'âge de la mère de Julie lorsqu'elle rencontre la star...

    En 1975, Fabienne n'a que 13 ans lorsqu'elle fait la connaissance du chanteur. Il est vrai que leur idylle ne débute que l'année d'après, mais la Belge n'a toujours que 14 ans à ce moment-là. Les rencontres de Fabienne et Claude se font au gré des tournées. À 15 ans, l'adolescente donne naissance à leur enfant. Ses parents l'obligent à mettre le bébé à l'adoption.

    Depuis la révélation de cette histoire, de nombreuses personnes nous ont témoigné leur "étonnement" en découvrant l'âge qu'avait Fabienne au début de leur relation. "Elle avait 13 ans lors de leur rencontre, donc 14 lorsque "leur idylle" a commencé lui 37.

    D'après les précisions données par Julie, sa mère biologique avait convaincu l'interprète de "Comme d'habitude" qu'elle avait 18 ans. Selon la fille cachée de Claude François, ce dernier ignorait l'âge véritable de Fabienne. "Ma mère et Claude ont entretenu une relation suivie d'une dizaine de rencontres entre 1976 et 1977. Elle n'était pas fan comme les filles qui passaient le jour et la nuit à l'attendre, le suivre partout, qui l'aimaient inconditionnellement. Elle était trop jeune et ses parents n'acceptaient qu'elle aille le voir que de temps à autre, sans se douter une seule seconde que leur fille pourrait vivre une relation amoureuse avec une vedette. (…) Lui était intimement convaincu qu'elle avait 18 ans", raconte Julie à Sudpresse.


    Une attirance pour les filles très jeunes

    Mais une chose est certaine, la star était attirée par les filles très jeunes comme le confirme son ami Jean-Marie Périer dans le documentaire "Cloclo 40 ans après, ultimes révélations" diffusé sur la chaîne TMC.


    Le photographe y parle de cette "obsession" et explique que la star assumait publiquement cette attirance...

    En 1964, Claude François tombe sous le charme de France Gall alors âgée de 17 ans. Après 4 ans de relation tumultueuse, ils se séparent. Des années plus tard, l'artiste de 35 ans vit une histoire d'amour avec Sofia Kiukonnen, un mannequin de 19 ans, comme le montre l'émission.

    Ce documentaire dévoile également une interview étonnante accordée à la RTBF dans les années 70. La star parle sans détour de son attirance pour la "jeunesse". "Je les aime jusqu'à 17-18 ans, après je commence à me méfier. Dieu seul sait si j'ai des aventures au-delà de 18 ans bien sûr... Heureusement. Mais après 18 ans, je me méfie parce que les filles commencent à réfléchir, elles ne sont plus naturelles", précise alors l'interprète de "Alexandie Alexandra".

    Retrouvez l'extrait à la 65ème minute de la vidéo.

     


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  • C'est une incroyable histoire que relatent ce matin les journaux. Une très jolie jeune femme appelée Julie Bocquet, originaire de Gand, sort du silence après des années vécues dans le plus grand secret. Elle est le fruit d'une histoire d'amour que le chanteur français Claude François aurait eue fin des années 70 avec une adolescente belge, prénommée Fabienne.

    Au moment de leur idylle, Fabienne est très jeune. Elle n'a que 15 ans, mais Claude pense qu'elle en a 18 ans. Fabienne vit "cette histoire d'amour interdite" avec le chanteur. Le père de Fabienne voit en effet le chanteur d'un très mauvais oeil. Les rencontres de Fabienne et Claude sont parsemées au gré des tournées. À 15 ans, la jeune adolescente tombe enceinte et donne naissance prématurément à une petite fille, que ses parents l'obligent à mettre à l'adoption. Selon la mère adoptive, le chanteur, lui, n'a jamais su que sa petite amie belge était enceinte.

    "Selon son ami Slim, qui était le guitariste et chef d'orchestre de Claude, et qui a assisté à ce coup de foudre, Claude François savait que Fabienne avait eu une petite fille", précise le journaliste de Sudpresse, Nicolas Dewaelheyns, qui est l'auteur de cette incroyable

    Il est décédé alors que leur bébé n'avait que 9 mois.

    "Ce qui me manque, c'est de ne pas avoir de souvenir avec lui, de ne pas l'avoir connu. Je ressens un vide en moi pour toujours. Même si j'ai tout eu du côté de mon père adoptif", confie la jeune femme.

    Julie détaille dans les journaux sa vie auprès de ses parents adoptifs, comment elle a appris qui était son père et le jour où elle a revu sa mère biologique. Une chose est certaine. La ressemblance physique avec Cloclo est frappante. Un test ADN aurait d'ailleurs prouvé cette filiation. La jeune femme prévient également dans l'article "qu'elle n'attend rien de cette sortie dans la presse". Elle veut juste être "reconnue symboliquement".

    La vérité a été dure à accepter: "Au début, je rejetais tout de lui et éteignais la télé quand il apparaissait. Avec le temps, j'ai appris à mieux le connaître et à le faire entrer dans mon coeur", a-t-elle confié.

    "Je me reconnais dans certains traits de sa personnalité: sa sensibilité, comme lui, j'ai souvent ce sentiment d'être mal aimée."

     

     

    Les enfants de Claude François réagissent: «Respectez la mémoire de notre père qui n’est plus là pour pouvoir s’exprimer»

    Nous souhaitons nous exprimer autour de l’interview de Julie Bocquet parue en Belgique hier.
    Son récit est bouleversant. Nous comprenons parfaitement sa quête d’identité mais il s’agit là d’une histoire qui nous dépasse tous un peu. Elle explique que sa maman tombe enceinte et, éprise de notre père, décide de cacher sa grossesse jusqu’à ses parents.
    Il ne nous appartient pas de juger les motivations de Fabienne. Tant cette dernière que Julie nous ont toujours semblé équilibrées, délicates et courtoises dans leur approche. Nous n’avons jamais ressenti d’intentions déplacées de leur part et comprenons leurs souffrances et les respectons. 
    Nous demandons à tous, et aux médias en particulier, de bien vouloir respecter la mémoire de notre père qui n’est plus là pour pouvoir s’exprimer.

    Permettez à nos familles respectives de vivre en paix.

    Cordialement,
    Claude et Marc Francois.

     

    Reste que selon Fabian Lecoeuvre, proche de la famille du chanteur et auteur de bon nombre de biographies, les enfants de Claude François étaient déjà au courant de l’existence de Julie. «  Des tests ADN ont été effectués avec les deux fils de Claude François et il s’est donc avéré qu’elle était bel et bien la fille de Cloclo  », affirme-t-il sur le site de TéléLoisirs. «  Dès lors, Fabienne et Julie ont eu à plusieurs reprises Coco au téléphone. C’est une belle relation, très saine. Julie voulait savoir d’où elle venait mais elle n’a jamais entrepris ces démarches dans des intentions pécuniaires. D’ailleurs, elle n’a jamais rien réclamé  ».


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  • Bonjour, un message pour vous annoncer la commercialisation d'un produit exceptionnel. En effet, depuis plusieurs mois maintenant le Moulin travail avec une société Franco-Newyorkaise à l'élaboration d'une bougie EAU NOIRE, aux senteurs du Parfum légendaire du même nom créé par Claude François.

    Nous avons fait appel aux maître nez d'une maison de parfumerie française de réputation mondiale, et leurs avons confiés différents Flacons d'origines du parfum eau noire pour qu'ils recréaient à l'identique la formule chimique de cette fameuse fragrance.

    Cette bougie reprendra, en plus de la senteur originale du parfum Eau Noire, les codes graphique de celui-ci.

    Pour résumer nous avons voulus réaliser un produit hautement qualitatif et luxueux tel que le parfum EAU NOIRE de Cloclo était.

    Enfin, nous attirons votre attention sur le fait que celle-ci ne sera commercialisée qu'à un tirage limité de 500 exemplaires uniquement.

    Les modalités d'achat se trouve sur notre site internet à l'adresse suivante:

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    juste mon avis oui c'est bien trouvé une bougie avec l'odeur du parfum eau noire mais je trouve que c'est encore gagner de l'argent sur le compte de notre cloclo pffff


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  • Conducteur Manuscrit Claude Francois exclusif

    Conducteur manuscrit par Claude d'une séance d'enregistrement datant du 18 novembre 1970 à Londres.
    Ce jour là Patrick Topaloff a notamment enregistré "J'ai bien mangé, j'ai bien bu" qui est devenu un grand succès.


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  • Claude François boutique

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  • Claude François : France Gall, Isabelle Forêt… qui étaient les femmes de sa vie?

    Une partie de ses histoires d'amour sont abor­dées dans le film "Cloclo". France Gall, Isabelle Forêt, Sofia Kiuk­ko­nen… qui sont les femmes qui ont partagé la vie de Claude François, icône française des années 70 ?

     

    Si Claude François n’avait pas quitté son poste d’em­ployé de banque, il n’au­rait peut-être pas connu le succès sur scène et ces femmes merveilleuses qui l’ont accom­pa­gné au cours de sa carrière. Lorsqu'il intègre l’or­chestre de Marcel Blan­chi, à l’hô­tel Provençal de Juan-les-Pins en 1959, il fait vite la connais­sance de Jane Wool­la­cott. Celle-ci, née à Nottin­gham­shire au Royaume-Uni, est danseuse. Ils tombent amou­reux l'un de l'autre au cours d'une soirée à Monte-Carlo. Très vite, leur histoire appa­rait comme une évidence et ils se marient, en novembre 1960. Mais petit à petit, des tensions surviennent dans le couple. Le chan­teur est jaloux et posses­sif, et Jane Wool­la­cott a besoin de distance. Elle le quitte deux ans plus tard pour les beaux yeux d’un autre homme. Un certain Gilbert bécaud, qui, lui aussi, ne vit que pour la chan­son.

    Le temps passe et Claude François connaît ses premières soirées sous les projec­teurs. Le public appré­cie ses chansons et entame le fameux refrain de Belles, Belles, Belles. Il prend de l’ai­sance sur la scène de l’Olym­pia et gagne la confiance de ses fans. Une seconde femme appa­raît dans la vie de l’ar­tiste. Il s’agit de la jolie France Gall, alors âgée de 17 ans. Le beau duo entame une rela­tion secrète pendant trois ans. Mais ses mauvais traits de carac­tère réap­pa­raissent. Il l’op­presse, l’em­pêche de jouer avec Alain Delon au cinéma, surveille ses faits et gestes. Sa compagne, dispu­tée à plusieurs reprises, se sent oppres­sée. Elle prend le large. « Claude n’était pas quelqu’un de facile. Personne n’était heureux autour de lui », confiera t-elle à France Dimanche en 2015. La rupture est donc doulou­reuse.

    Claude François, lui, conti­nue sur sa lancée musi­cale. Lors d’un gala à Lyon il est charmé par la belle Isabelle Forêt. Elle aussi est danseu­se… Ils s’aiment d’un amour fort et fondent même une famille. Le couple a deux enfants, Claude François Junior et Marc François, qui naissent en 1968 et 1969 à Neuilly et Paris. Malheu­reu­se­ment, l’époux est infi­dèle. La flamme vacille et les amants se quittent. On ne les verra plus ensemble à partir de 1974. Elle se rema­rie par la suite. 

    Claude François vire­volte vers d’autres parte­naires. Il a des vues sur Dany Saval mais celle-ci s'éprend finalement de Michel Drucker sur un plateau de télé­vi­sion. Il s’af­fiche quelque temps plus tard au bras du mannequin finlan­dais Sofia Kiuk­ko­nen. Tout se déroule pour le mieux jusqu’à ce que la ques­tion de fonder une famille pose problème. Le chan­teur ne voulait pas d’en­fants avec elle, ayant déjà la respon­sa­bi­lité de ses deux fils. Elle le quitte en 1976. "Je n’ou­blie­rai jamais le jour où Chouffa, la mère de Claude François, m’a révélé que son fils n’avait pas un enfant, mais deux !", expliquait-elle a Paris Match en 2008. Une énorme trahi­son dont elle ne s'est jamais remise, sans comp­ter le fait qu'elle croi­sait les maitresses de son compa­gnon sur le palier…

    Pour noyer son chagrin, l’ar­tiste se réfu­gie encore dans ses compo­si­tions. Il rencontre Katha­lyn Jones à l’hi­ver 1976, mannequin d’ori­gine cali­for­nienne. Elle l’ins­pire pour chan­ter C'est comme ça que l'on s'est aimé, partage sa passion et enre­gistre même des morceaux à ses côtés. C'est elle, qui, à 23 ans, le 11 mars 1978, retrouve son mari inanimé dans sa baignoire à Paris. Ce jour-là, il ne reverra plus jamais ses proches et ses Clodettes. Le monde de la musique devra faire son deuil.

     


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  • Claude François Junior quitte Uccle pour s'installer au Portugal

    Et si Uccle n'était plus l'Eldorado des ressortissants français aisés ? A plusieurs sources, nous avons appris que Claude François Junior, fils de Cloclo, a quitté la commune du sud de la Région bruxelloise pour s'installer au Portugal. Un déménagement consécutif à son récent mariage avec Anne Floderer, amie et associée de toujours au sein de Flèche Productions, la société qui gère les droits à l'image de Claude François et produit des spectacles. La noce a eu lieu le 30 avril dernier à la maison communale d'Uccle.

    Mais depuis, donc, direction Lisbonne et ses 300 jours de soleil par an. Le couple met actuellement en vente sa maison et siège social de Flèche Productions, situé dans le quartier du Dieweg. Coût de la bâtisse d'environ 300 mètres carrés habitables (et hors terrain annexe) : plus d'un million d'euros. Comme confirme une des agences immobilières en charge de la vente du bien, "la société présente quitte cette adresse".

    Le siège de Flèche Productions reste à Bruxelles

    La nouvelle adresse du siège n'est pas encore connue. Selon l'entourage de Claude François Junior, Flèche Productions ne quitte pas Bruxelles et conserve également son siège parisien. Il n'empêche, le Portugal est connu pour proposer un régime fiscal avantageux aux résidents étrangers disposant de revenus issus de source étrangère. Objectif de cette très récente disposition pour le pays : attirer les fortunes capables de soutenir la croissance locale. L'entourage de Claude François Junior, 48 ans, dément en tout cas la moindre intention fiscale dans ce déménagement et parle d'une "expérience familiale" pour le couple et ses enfants.

    Si Bruxelles offrait une proximité géographique et culturelle avec la France, où la société Flèche Productions est particulièrement active, le Portugal n'est pas en reste, en dehors de la barrière de langue. Paris n'est qu'à deux heures et demi d'avion de la capitale lusitanienne. Concilier vie privée et contraintes professionnelles reste possible.

    Installé à Uccle depuis 2008

    Cela faisait près dix ans que Claude François Junior résidait à Uccle. Dans une interview à la DH en 2008, il expliquait au moment de son installation à Bruxelles : "J'avais envie de vivre d'une manière plus tranquille. Le rythme de la vie (en Belgique) est quand même différent de celui de Paris. (...) La diversité culturelle est beaucoup plus intéressante à Bruxelles. C'est une ville où existent d'excellents restaurants et de nombreux bars. Ce n'est pas que je sois un gros sorteur, mais ça rassure de savoir que des loisirs sont proposés près de chez soi."

    Rappelons que longtemps après sa naissance, Claude François Junior a été caché par son père aux yeux des médias et du public. Il en fut de même pour son petit frère Marc François.

    La société Flèche Productions a autorisé il y a quelques semaines la sortie de l'album de reprises de Claude François par Matt Pokora, "My way". Le disque est actuellement numéro 1 des ventes en France. Claude François Junior fait également en ce moment la promotion d'Hit-Parade, le spectacle rassemblant les hologrammes de légendes de la chanson française, comme Cloclo, Sacha Distel Mike Brant et Dalida.

    Uccle est connue pour abriter une importante communauté de Français (environ 9000, soit 10% de la population). Parmi ceux-ci, quelques personnalités comme l'animateur de télévision Français Arthur et l'une des premières fortunes françaises Bernard Arnault.


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  • VOICI UNE AUTRE ANECDOTE QUE J'AI TOUJOURS TROUVER DANS LE "LE POST ARCHIVES" DATANT TOUJOURS DU 11 MARS 2008

    Je me souviens parfaitement de ce 11 mars 1978... Je venais de garer ma Coccinelle sur le parking d'un hôtel à Megève, pour quelques jours de vacances. Il était 16 heures.

    Quand je suis arrivé à la réception, il y avait devant moi une jeune femme en pleurs. J'ai attendu quelques minutes avant de lui parler. J'étais littéralement pétrifié par son état.

    Elle sanglotait, tentait de prononcer quelques mots, sans que les sons sortent franchement de sa bouche.
    Je lui ai posé la main sur ses épaules, en lui demandant de bien vouloir s'asseoir sur un fauteuil, là... Je lui montrais un fauteuil en vieux cuir qui avait dû subir les attaques répétées du chat de la maison.

    J'étais très gêné. Peu à peu, la jeune femme s'est calmée. Elle reprenait ses esprits.

    Je me souviens de son regard, comme si c'était hier. Pourtant, déjà trente ans...

    C'était sûr, on venait de lui apprendre une nouvelle terrible. Le monde chancelait sous ses pieds. Ses yeux étaient sombres, son regard lointain. En reniflant, elle m'a crié : "Il est mort ! Il est mort ! Il est mort !"

    Et voilà que ma réceptionniste repartait de plus belle dans ses sanglots.
    Ce n'était pas son ami qui venait de mourir. C'était bien plus que cela...
    Elle a continué à me crier dessus : "Cloclo... Cloclo... Il est mort !"
    Elle s'est affalée sur le fauteuil.

    Puis subitement elle a été prise de convulsions... L'amie qui m'accompagnait est entrée à ce moment-là.
    Devant cette femme en pleine de crise de nerfs, elle a eu le geste que je ne pouvais pas faire : elle lui a balancé une claque magistrale.
    Une claque qui a résonné dans la réception de l'hôtel.

    C'est ainsi que j'ai appris la mort de Claude François. Il était mort quelques minutes avant cette scène d'hystérie. Une scène que je garde toujours en mémoire.
    Trente ans après.

    C'était un flash d'Europe 1 qui avait annoncé à la jeune réceptionniste la fin de son idole.


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  • Monty fit la grande tournée de 1964 avec Claude François. Il chanta en duo avec lui plusieurs fois les années suivantes.
    Écrite en collaboration avec son ami Michel Bourdais de Salut Les Copains et qui fut aussi le dessinateur de Claude François, Monty livre ses secrets dans son autobiographie, déjà en pré-vente aux éditions&co.
    Il nous invite dans les coulisses de ses collaborations avec Dalida, Sheila, Claude François, Eric Charden, Eddy Mitchell...
    Il dévoile, pour la première fois aussi, l'histoire surprenante et rocambolesque de l'indémodable hymne au ballon rond "Allez les Verts" dont il est l'auteur.
     
    "Ma vie en vert" raconte l'itinéraire d'un enfant d'après-guerre, passionné par la musique et le ballon des terrains de foot. On y découvre une vie pleine de fougue, de rencontres, de réussites et d'échecs, de bonheur et d'émotions.
     
    "Ma vie en vert" est un regard sur ces années "âge tendre", le témoignage d'un enfant de la balle et du ballon rond, entre showbiz et Chaudron (le stade de Saint-Étienne), tournées et épopées.
     
    On dit que ce sera l'événement de la rentrée littéraire. 
    Pour plus d'informations encore, suivre le lien :

    Les secrets de Monty dans son autobiographie :  "Ma vie en vert, du showbiz au chaudron"


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