• MAIS QUAND LE MATIN

    C'est Eric Charden & Gilles Thibaut qui créent pour Claude cette chanson qui sort en juin 1967 et qui va devenir l'un des tubes de l'été.
    Cette année-là, des petits avions survolent les plages françaises avec des banderoles portant le titre et le nom de l'interprète de cette chanson.
    D'inspiration très ''Black Sound'' américain, ce titre tonique sera traduit en italien et Claude se classera numéro 1 de l'autre côté des Alpes.

     


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  • Ce sera le 2 avril 2016 à 20h00 en collaboration avec « Soir mag ».

    Claude François revient à Bruxelles

    En 2016, un an après la création de l’antenne belge du Club, représentée par France Jabé et Alain Ledent, c’est chez nous que l’hommage se déroulera. Et pas n’importe où, puisque le Club a choisi Forest National, salle mythique dans la carrière de l’artiste. France Jabé : Ce sera une soirée émouvante. Claude François adorait cette salle ! ». L’événement s’ouvrira par une chorégraphie inédite confiée au Ballet du Hainaut sur un titre issu du répertoire plus intimiste de Claude François.


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  • CREA


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  • VIBRATIONS COLLECTOR 2/32

    VIBRATIONS COLLECTOR 2/32


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  • Dimanche 27 mars 2016 à 12h00

     

    Déjeuner Spectacle Avec Franck D'auria et Ses danseuses

     

    Formule à 120 euros par personnes et 60 euros pour les enfants de - de 12 ans

     

    Repas (Apéritif et amuses bouches + Entrée + Plat + Dessert + café + Vin) et 1h30 de Spectacle

     

    Réservation et information au 01 64 98 45 54.

     

    Attention places limitées


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  • MERCI MARIANNE

    Un tout grand merci à Marianne pour le portrait de Cloclo

    elle fait de super portrait, aller voir son blog, vous ne serez pas déçus du tout

    http://maridessincrayon.centerblog.net


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  • Michel Bourdais, le dessinateur de Claude François raconte

    "En 1963, pendant que Claude était assis devant moi et qu’avec mon crayon-carbone je faisais quelques études rapides de parties de son visage, je me souviens d’une chose pouvant paraître sans intérêt mais qui finalement ne l’est peut-être pas et qui m’est restée en mémoire : nous eûmes une discussion à propos de l’odeur de l’essence !!

     

    Claude me dit qu’il adorait cette odeur et m’affirma que lorsqu’il faisait le plein pour sa voiture, il s’arrangeait toujours pour se placer dans le sens des vapeurs qui s’échappaient pour mieux en profiter. Puis son imagination vagabonda sur un délire.

     

    « T’imagines, me dit-il, on pourrait fabriquer de jolis petits flacons, on mettrait quelques gouttes d’essence dedans et on appellerait ça : parfum d’évasion ! Ce serait génial, … dément. Je suis sûr que ça marcherait ! » Je le traitai alors de malade et le fou rire nous gagna.

     

    Lorsqu’à l’automne 1976, Claude lança sa marque de parfum « Eau noire », je n’ai pas pu m’empêcher de penser que derrière ce nom se cachait son attrait pour l’odeur de l’essence et qu’il avait réussi finalement à donner vie, en quelque sorte, à ce délire à propos duquel nous avions tant ri treize ans auparavant. Son « Parfum d’évasion » était devenu « Eau noire » : cela me paraissait évident. Bien entendu, je ne veux pas dire que « Eau noire » avait l’odeur de l’essence ! Mais nous étions en pleine crise du pétrole. Ce précieux pétrole était devenu un bien inestimable et symbole de richesse.

     

    D’essence à pétrole, de pétrole à or noir, d’or noir à « eau noire », il n’y a que trois sauts d’idée. Quiconque se mettrait délicatement quelques gouttes « d’Eau noire » se parerait de richesse ! Eau noire, le parfum qui vous rend le plus riche du monde ! Voilà une belle accroche publicitaire. Je me suis toujours plu à penser que Claude, qui avait beaucoup d’humour, avait eu cette idée."

    Michel Bourdais, le dessinateur de Claude François raconte


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  • Le chro­niqueur publie un guide offi­ciel sur Danne­mois

    Fabien Lecoeuvre: “Le fantôme de Claude François vit au moulin”

    À l’heure du 38e anni­ver­saire de la dispa­ri­tion de Claude François, la fasci­na­tion pour le chan­teur est encore bien présente. Dans un livre unique, Fabien Lecoeuvre, biographe offi­ciel de la star s'inté­resse au moulin de Danne­mois, la demeure éter­nelle de Cloclo

    “Plus de 80 ouvrages ont été consa­crés à Claude François, mais jamais encore à sa propriété”. Le constat de départ de Fabien Lecoeuvre est simple. Celui qui s’est imposé comme le meilleur repré­sen­tant de l’oeuvre du chan­teur disparu il y a 38 ans aujourd’­hui, a donc décidé de répondre à l'inté­rêt des fans et des curieux.

    Il faut l’ad­mettre: “le culte de la person­na­lité de Claude François passe aussi par le moulin de Danne­mois dans lequel il a vécu près de 15 ans”. Quand l’in­ter­prète de Belles, belles, belles a acquis cette propriété au prin­temps 1964, c’est évidem­ment pour son empla­ce­ment, ses pres­ta­tions mais aussi pour son carac­tère histo­rique. Au Moyen-âge, le moulin aurait été le lieu de séjour de Jeanne d’Arc en route vers Chinon et Charles VII. La maison aussi mythique que mystique héber­ge­rait aujourd’­hui encore “le fantôme de Claude François”. Pour Fabien Lecoeuvre, quand “on visite cette maison, on retrouve un peu l’âme de l’ar­tiste, consi­déré comme un phéno­mène reli­gieux” et des centaines de visi­teurs “y viennent d’ailleurs en pèle­ri­nage”.

    De la cave à la piscine en passant par le hall du rez-de-chaus­sée et la salle de cinéma, le chro­niqueur offre une visite pleine d’anec­dotes et de photos dans ce guide offi­ciel du moulin de Danne­mois publié aux éditions Hugo Desinge. Comme Claude François lui-même, Fabien Lecoeuvre avoue une atti­rance parti­cu­lière pour “la maison améri­caine”, nom donné à la grange trans­for­mée en habi­ta­tion en 1973. Elle est un petit concen­tré des goûts de Cloclo: “une déco néo-clas­sique avec tout le confort moderne de l’époque, des pièces de mobi­lier Louis XIII, un aqua­rium géant, une table en marbre blanc et un canapé recou­vert de peau de vache”, c’est le lieu qui résume le mieux le chan­teur, selon Fabien Lecoeuvre.

    À l’époque, Claude François avait compris que “sa vie privée faisait partie de sa vie publique” et il ouvrait très régu­liè­re­ment les portes de son moulin adoré aux photo­graphes et au jour­na­listes. Une atti­tude en oppo­si­tion avec le “manque de géné­ro­sité” qui péna­lise aujourd'hui nos célé­bri­tés. Fabien Lecoeuvre regrette que “des Patrick Bruel ou des Béna­bar endossent leurs pano­plies de chan­teur, mais une fois sortis de scène, tout s’ar­rête et ils veulent rede­ve­nir anonymes”. Une stra­té­gie qui selon lui “enlève l’af­fec­tif entre la star et le public”.

    Les chan­sons et le mythe de Claude François ont laissé une telle empreinte dans le paysage audio­vi­suel français, qu’il est diffi­cile de lui trou­ver un héri­tier. “M Pokora qui allie si bien danse et chant pour­rait s’en rappro­cher mais ça n’est pas du tout la même carrière” confie Fabien Lecoeuvre. Lui qui rega­gnera le moulin de Danne­mois pour une séance de dédi­cace de son guide dimanche 20 mars, travaille égale­ment à une suite de Podium, la comé­die déso­pi­lante avec Benoît Poelvoorde en mauvais sosie de Cloclo, réalisé par Yann Moix.

    Fabien Lecoeuvre: “Le fantôme de Claude François vit au moulin”


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