• RETROUVEZ TOUS SES ALBUMS MYTHIQUES ( RE SUITE)

    Après 14 mois de recherches , 65 autorisations pour que cette

     

    intégrale voit le jour le N° 1 sortira le 17 AVRIL en Kiosque

     

    possibilité avec le n° 1 de s'abonner .

     

      

    POLYGRAM COLLECTION


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  • LE MOULIN DE DANNEMOIS 27eme PARTIE / 47

    Pour le prochain numéro de son journal Podium qu'il vient de racheter, Cloclo pose en compagnie de son fils aîné Coco, ce jour-là, le soleil d'automne rayonnait sur la propriété de Dannemois au mois d'octobre 1972.

    Pudiquement, il avouera : «  Mon fils Coco vit au Moulin avec Isabelle.

    Il grandit au milieu d'une merveille nature et je crois qu'il est pleinement heureux, surtout pendant les week-ends.

    Je ne vous surprendrai pas en vous disant qu'avec lui, je suis complètement gâteux.

    C'est plus que mon fils, c'est mon ami.

    Son avenir ? Nous avons encore le temps.

    L'essentiel est de lui apprendre à aimer ce qui est beau et à respecter ce qui est bon.

    L'éducation du cœur n'est-elle pas la plus belle réussite que peut espérer un père ? »

    LE MOULIN DE DANNEMOIS 27eme PARTIE / 47

     


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  •  CHUT ! PLUS UN MOT


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  •  HISTOIRE DE LA CREATION DES CLODETTES (2/3)

    HISTOIRE DE LA CREATION DES CLODETTES (SUITE)

    Deuxième déclic

    En janvier 1965, Claude François part à Las Vegas avec Jean-Marie Périer pour des séances de photos. Claude compte ramener des Etats-Unis quelques bonnes idées musicales et Jean-Marie a l'intention de réaliser sur place des clichés originaux pour le magazine Salut Les Copains.

    C'est la première fois que Claude pénètre dans l'univers de son idole : Frank Sinatra. Lorsqu'il parle de Sinatra, Claude dit toujours : " Il a la classe". Il revient ébloui par ce voyage. Là-bas, les shows américains avec débauche de lumières, de danseurs et danseuses, auxquels il assista le fascinèrent.

    Claude commence alors à gamberger et se dit qu'il pourrait reprendre à son compte cette idée de shows dans lesquels il pourrait s'entourer de danseuses.
    C'est le deuxième déclic.

     


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  • Été 1971, Cloclo est peut-être le plus occupé des artistes.

    Soixante concerts jusqu'au 15 septembre.

    Tel est le rythme que Cloclo a dû s'imposer pour satisfaire les innombrables fans.

    Une tournée glorieuse mais épuisante qui n'a pas empêché Cloclo d'aller fêter au Moulin de Dannemois avec sa compagne Isabelle, le troisième anniversaire de son fils Coco.

     

    LE MOULIN DE DANNEMOIS 26eme PARTIE / 47

    PHOTOS CI-DESSUS : Cloclo et Isabelle au Moulin dans la salle à manger au mois de décembre 1972.

    Un reportage réalisé pour l'hebdomadaire Jours de France, il confiera : «  Isabelle est l'âme de mon Moulin.

    Toujours souriante et douce, elle s'occupe de tout.

    Elle soigne mes rosiers, achète mes chemises, choisit mes cravates et court les antiquaires pour me faire des surprises.

    Elle aurait pu faire une carrière de mannequin et de cover-girl.

    Elle a préféré vivre dans mon ombre...

    Quand je ne dors pas, elle ne dort pas non plus.

    Quand je suis énervé, elle reste d'une douceur angélique.

    C'est depuis que j'ai compris pourquoi, dans la comédie italienne, une « Isabelle » est une amoureuse ! »

     


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    Beaucoup d’anecdotes et d’histoires circulent au sujet de Comme d’habitude de Claude François, monument de la chanson française. Ce que l’on sait précisément, c’est qu’elle a d’abord été écrite et composée en 1967 par Gilles Thibaut (paroles) et Jacques Revaux (musique).

    La chanson porte alors comme titre For Me (« Pour Moi »). Le duo Thibaut-Revaux propose la chanson à plusieurs artistes, dont Michel Sardou. Tous la refusent. Seul Hervé Vilard accepte, mais demande au duo de créateurs de la présenter d’abord à Claude François, car elle ne convient pas totalement à Vilard.
    Claude François s’empare de la chanson, qui s’appelle encore For Me. Il réécrit en partie les paroles en prenant comme inspiration sa récente rupture d’avec France Gall, rupture qui l’a profondément meurtri. Claude François retravaille ensuite l’ensemble (paroles et musique) avec Gilles Thibaut et Jacques Revaux. Le trio la renomme Comme d’habitude. À sa sortie en 1968, Comme d’habitude est un flop commercial.
    David Bowie, alors jeune artiste, est sollicité pour l’adapter en anglais, Claude François étant persuadé que la chanson a tout pour devenir un tube planétaire. De l’aveu même de Bowie (aveu qu’il ne fera que quelques années plus tard), les paroles qu’il écrit sont assez mauvaises. La chanson se nomme alors Even A Fool Learns To Love. Claude François lui-même n’est pas du tout satisfait du résultat et refuse sa commercialisation.
    C’est alors que Paul Anka entre en scène. La star entend par hasard Comme d’habitude à la radio pendant l’un de ses voyages en France et tombe littéralement sous le charme de la musique. Il acquiert auprès de Claude François les droits pour une adaptation en anglais. Ce sera My Way, chantée, entre autres, par Elvis Presley, Frank Sinatra, les Gypsy Kings, Sid Vicious (Sex Pistols)… En 1977, Michel Sardou la reprend à son tour, suite à un pari perdu avec Claude François.
    Comme d’habitude a par ailleurs été adaptée dans plus d’une centaine de langues différentes. Aujourd’hui, le propriétaire des droits de Comme d’habitude est le Français Xavier Niel, fondateur et dirigeant de la société Iliad.

     


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  • LES CLOCHES SONNAIENT

     


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  • CLOCLO VU PAR LAURENT VOULZY

    « Quelque chose de fascinant »

    Claude François, j'aimais beaucoup le voir à la télévision.

    Il se dégageait de lui quelque chose de fascinant.

    Et puis, il y avait tous ces mystères et ces légendes qui gravitaient autour de sa vie et le rendaient encore plus insaisissable.

    C'était une vraie star.

    J'ai eu l'occasion de le rencontrer à deux reprises lors d'émission de variétés à l'époque ou je chantais Rockollection.

    Je ne le connaissais pas, mais à chaque fois que je le croisais, il m'adressait un geste amical.


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